Au sortir de la halle du petit marché je m'arrête devant l'apiculteur qui me retient par son bagout : à 87 ans il vous débarrasse d'un essaim sans les précautions dont les amateurs s'entourent. Moi madame, un essaim je le prends dans les bras, c'est mon métier ! pas besoin d'enfumer ! Ca tombe bien je fais provision de Propolis pour l'hiver prochain ; il est temps de penser à bosser et tandis que je tourne le dos il poursuit ses histoires de chevalier des abeilles en sa contrée de Colomiers. Sacré pépé !
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